Les initiatives environnementales des employeurs, ou leur absence, ont un impact direct sur l’attraction et la fidélisation, selon une nouvelle étude de la marque de distributeurs d’eau BRITA VIVREAU.
Les employés exigent que les entreprises pour lesquelles ils travaillent engagent des actions durables pour la planète comme pour la société : un jeune sur trois rejette aujourd’hui un emploi en raison d’engagements RSE jugés trop faibles.
L’étude montre ainsi que 80 % des employés de bureau disent qu’il est important pour eux que leur lieu de travail ait des objectifs pour réduire l’utilisation du plastique à usage unique. Notamment, 34 % souhaitent leur suppression totale.
Ils sont plus d’un quart (28 %) à indiquer ne plus utiliser une seule bouteille d’eau en plastique à usage unique.
Les mesures les plus courantes que les employés de bureau prennent au travail pour réduire le plastique à usage unique sont l’utilisation d’une bouteille réutilisable (63 %), l’utilisation de contenants alimentaires réutilisables (52 %) et l’utilisation d’un distributeur d’eau pour remplir leur bouteille (47 %).
Les articles en plastique à usage unique pour les boissons chaudes et froides sont une source d’irritation pour une partie des répondants, avec en tête les gobelets en plastique à usage unique (39 %), suivis des couvercles en plastique sur les gobelets en papier (37 %) et des bouteilles en plastique (32 %). Par ailleurs, ils sont 3 sur 10 à souhaiter que leur lieu de travail ait un distributeur d’eau froide ou chaude pour réduire l’impact environnemental.
Plus d’un quart (27 %) des répondants disent ne pas se sentir encouragés à réduire le plastique dans les environnements de travail. Le temps (34 %) et le coût (23 %) sont les freins les plus courants, suivis par le fait de ne pas oublier d’apporter une bouteille ou un contenant réutilisable (21 %), de ne pas disposer d’installations de recyclage (21 %) ou de distributeur d’eau pour faire des boissons chaudes (14 %) et du manque de soutien de la direction (14 %).
L’étude a également révélé que 86 % des chefs d’entreprise pensent que leur entreprise pourrait faire davantage pour réduire son impact environnemental.
