Gestion des dépenses : les grandes tendances 2022 selon Jenji

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Les typologies de dépenses en entreprises ont fortement évolué depuis la Covid-19, comme le constate Jenji. Le télétravail imposé et les restrictions sanitaires ont rebattu les cartes et sont venus s’ajouter aux évolutions technologiques et à la prise de conscience autour de la data et de la RSE. Avec à la clé une modification des processus financiers et des typologies de dépenses.

La plateforme de gestion des frais professionnels a identifié trois grandes tendances pour 2022.

Le 100% dématérialisation responsable

La dématérialisation permet de réduire les coûts de traitement d’environ 30%. Les entreprises considèrent désormais la numérisation comme une solution « indispensable » pour leur gestion des dépenses. Le total des notes de frais réalisées en 2020 a été atteint en un seul trimestre en 2021, soit une augmentation de 81 % d’une année sur l’autre.

Le paiement virtuel

Le paiement virtuel prend toujours plus le pas sur les autres formes de paiement. Que la carte soit à usage unique ou pas, elle s’ajoute à l’outil note de frais et facilite encore plus la gestion des dépenses aussi bien du côté des managers que des collaborateurs. Cette solution de paiement apporte aux services financiers une sécurité dans le contrôle, améliore le cash-flow et donne des informations en temps réel sur les budgets de l’entreprise.

Data : la prise de conscience de l’analyse de données

La donnée est devenue essentielle pour la prise de décisions des dirigeants. La dématérialisation alliée à l’intelligence artificielle permet de traiter et d’interpréter rapidement et de manière fiable des quantités importantes de données issues des reçus et factures.

Au-delà de ces 3 tendances, Jenji voit l’émergence d’un nouvel écosystème de la mobilité qui promet des voyages plus rapides, plus propres, plus sûrs, plus efficaces et plus personnalisés. En France, par exemple, le gouvernement a voté fin 2019 la création d’une allocation dite « forfait mobilités durables » qui représente 500 euros par an et par salarié pour le secteur privé, 200 euros par an et par salarié pour le secteur public. Elle compense les frais de déplacement des employés qui se rendent au travail à vélo, en véhicule partagé ou en utilisant un véhicule électrique, hybride ou à hydrogène. Les dépenses liées au « forfait mobilités durables » ont augmenté de 227 % depuis novembre 2019.